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léon degrelle - Page 5

  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (3)

     

    L’étudiant Léon Degrelle : de bonnes études universitaires

     

    « Humanités au Collège Notre-Dame de Namur où il découvre la pensée de Ch. MAURRAS et l’Action Française. »

    10 Cahiers JC 25 03 05 Maurras couv.jpgLéon Degrelle a bien effectué ses « humanités classiques » à Namur, au Collège Notre-Dame de la Paix (dénomination complète car il existe aussi un Institut des Sœurs de Notre-Dame qui n’a rien à voir avec l’établissement des jésuites namurois) où, grâce à ses professeurs, il se familiarisa avec la pensée de Charles Maurras. Mais c’est après ses « gréco-latines », aux Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix où il est entré en première année du « Grade de candidat en Philosophie et Lettres, Examen préparatoire au Droit », que le maurrassisme de Léon Degrelle provoqua, bien malgré lui, la mise à l’index vaticane du chef de l’Action française et de son mouvement: événement sensationnel qui ne mérite manifestement pas un mot de la part de De Bruyne !

     

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  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (2)

     Léon Degrelle, un adolescent doué pour l'écriture que n’intimident pas les personnalités

     

     

    6 LD boy-scout 12 ans.jpg« Études primaires et secondaires inférieures à Bouillon. »

     


    P
    our l’enfance et la prime adolescence de la plupart d’entre nous, il n’y a en effet rien d’autre à signaler que la présence sur les bancs de l’école. Mais est-ce bien le cas de Léon Degrelle ? Non, bien évidemment ! Car le jeune scout de douze ans eut, par exemple, l’occasion, un mois à peine après la signature de l’Armistice du 11 novembre 1918, de rencontrer de manière privilégiée le héros de Verdun, le maréchal Philippe Pétain (voir ce blog au 30 avril 2016).

     

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  • Février 1944 : percée de Tcherkassy

     

     

     

    L’Europe à Tcherkassy

     

     

    LD Ms Europe Tcherkassy.jpgVoilà trente ans, nous luttions tous au coude à coude à Tcherkassy, camarades allemands, camarades des Pays-Bas, camarades flamands, camarades du Danemark, camarades de Norvège, camarades des pays baltes et nous aussi, camarades wallons.

    Germains de langue française, nous offrions notre sang ; des milliers des nôtres donnaient leur vie au service d’une œuvre grandiose. Nous étions, nous, dans ces combats farouches, la véritable Europe, l’Europe du sang le plus pur, l’Europe de deux mille ans de civilisation, arcboutés dans les neiges de Tcherkassy pour défendre un merveilleux passé et pour construire l’avenir !

    Notre sacrifice et nos morts n’ont pas, dans l’immédiat, remporté la victoire. Mais n’empêche, notre Europe était la bonne Europe, la vraie Europe, non celle des calculateurs sordides d’intérêts matériels à mettre en commun, non celle des combinaisons égoïstes de petits politiciens accrochés à des ambitions étroites ! Notre Europe était l’Europe de l’idéal commun, de la foi commune, de la force commune !

    On ne meurt pas pour quelque chose de médiocre. On offre sa jeunesse, sa vie, pour réaliser une grande œuvre. Notre Europe l’était, une Europe commandée par un vrai chef, une Europe ordonnées, ouverte à tout ce qui était grand, soutenue, du bout des steppes jusqu’à l’Atlantique, par une force énorme et saine, notre force à nous, Waffen SS, garçons de vingt-huit pays européens, soudés les uns aux autres, à un million, par la discipline et par l’idéal, décidés à réaliser tous ensemble, à travers tout, la même œuvre !

    LD février 1991.jpgCette Europe-là avait une âme, elle avait un sens, elle possédait la seule vraie unité : celle d’une croyance commune. Et elle s’appuyait, puissamment, sur du réel : nos bras, nos armes, nos idées, notre volonté de fer qui eussent assuré à jamais sa stabilité.

    Tôt ou tard, cette Europe-là, l’Europe des idéalistes forts, submergera l’Europe des politiciens-boutiquiers d’aujourd’hui ! Ce jour-là viendra, tôt ou tard, camarades ! Et on verra qu’à Tcherkassy, comme tout au long de cette grande épopée du Front de l’Est, nous avons gagné quand même !

    Heil !

     

    Léon Degrelle, 17 février 1974.

     

  • Pol Vandromme : chantre du non-idéal petit-bourgeois et antidegrellien rabique !

    Voici quelque temps, un professeur de rhétorique retraité d’un de nos collèges des bons pères jésuites (dont, selon l’évêque de Namur, la famille Degrelle faisait partie « de père en fils » !) nous avait fait parvenir un commentaire sur le méchant livre que Pol Vandromme commit, en 1978, sur Léon Degrelle (Le Loup au cou de chien, voir ce blog en date du 14 avril 2016). Notre ami doit être un tant soit peu masochiste car il continue à lire les anciens pamphlets politiques de l’éditorialiste regretté (?) du quotidien catholique de Charleroi Le Rappel. Celui qui lui est tombé sous les yeux, Wallonie irréelle (éditions Didier Hatier, 1986), a l’avantage d’être abondamment illustré par Alidor (le Jam de Rex) (1) et, une nouvelle fois, d’évoquer Léon Degrelle avec le même souverain mépris que six ans plus tôt : il ne citera même pas son nom (2). C’est avec plaisir que nous lui laissons à nouveau la parole.

     

    ***

     

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  • Un conte de Noël de Léon Degrelle

    Voici exactement 85 ans, Léon Degrelle publiait dans son hebdomadaire Soirées du 25 décembre 1931, un conte de Noël intitulé Noël en Wallonie.

    Le Chef de Rex s’était alors plu à le parsemer d’allusions probablement compréhensibles par les seuls familiers de son pays natal, Bouillon.

    Ce nous est un particulier plaisir de redonner vie à ce texte charmant qui enracine judicieusement le récit fondateur de la religion catholique dans l'humus ardennais, non seulement par une nouvelle publication anniversaire, mais aussi en nous efforçant de ressusciter les multiples protagonistes bouillonnais appelés à y figurer activement et en l’illustrant par des images d’époque de ces lieux mythiques drainés par la capricieuse et toujours mystérieuse Semois…

    C’est en effet dans son plus célèbre méandre enserrant le Tombeau du Géant que repose désormais une partie des cendres du plus grand fils de Bouillon, avec Godefroid, les cendres du Croisé du nouveau Duché de Bourgogne de l’Empire national-socialiste.

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  • « Un retour de Léon Degrelle aurait empoisonné le climat politique belge » - Arnaud de la Croix, dans "L’Echo", 24 septembre 2016

     

    L'Echo Internet.jpg

    Avouons que L’Echo, gazette belge de la Finance, ne figure pas dans nos lectures quotidiennes. Cet article, au titre prometteur, nous avait donc échappé, mais nous l’avons retrouvé sur le site du quotidien. Loin d’expliquer les vraies raisons de l’exil forcé de celui dont la Belgique faisait semblant de réclamer l’extradition, cet échange de propos convenus se travestissant en pseudo-interview établit un parallèle « entre notre époque et les années trente », c’est-à-dire la « crise économique et financière » actuelle et le combat degrellien contre les banksters (toujours actifs mais passés sous silence) pour dénoncer « la montée des populismes », toujours néfaste à la finance apatride. Tout ça, en gros, pour assurer la publicité d’un bouquin –ramassis de calomnies parfois culotées, le plus souvent éculées–, sur Degrelle, 1906-1994, publié aux éditions Racine.

    Nous en ferons une recension circonstanciée, mais attardons-nous un peu sur le florilège de contrevérités bombardées par le pisse-copie de service, un certain Jean-Paul Bombaerts, cancanant avec l’auteur du bouquin, un certain Arnaud de la Croix (mais pas gammée pour un sou, rassurez-vous !).


    Ce dernier se présente comme un « historien belge » (ce qu’il est sans doute au même titre que les Frères Taloche qui, eux au moins, savent nous faire rire de leurs calembredaines !) prétendant combler « cette lacune » de l’absence de « biographie complète » de Léon Degrelle !

    On se demande bien en quoi « cette lacune » pouvait gêner nos ragoteurs puisque le journaleux assène de prime abord que Léon Degrelle n’est qu’un « personnage […] vantard, à la limite du grotesque ». Ce que confirme tout de go le sieur De la Croix (qui, in petto, le jure solennellement Croix de bois, Croix de fer, si je mens, je vais en enfer !) : « Il est vrai que Degrelle était un menteur éhonté et un mythomane invétéré » !

    Alors, pourquoi lui consacrer un livre ? Sans doute pour documenter les « mensonges » et la « mythomanie » de sa cible... Il prétend en tout cas en fournir quelques exemples pour allécher peut-être les capitalistes lecteurs du quotidien de la Bourse belge, dont les préoccupations sont assurément aux antipodes de son sujet.

    - « il crée la Légion Wallonie pour […] obtenir le poste de Gauleiter pour la Belgique francophone » !

    - « Hitler lui aurait déclaré : Si j’avais eu un fils, j’aurais voulu qu’il soit comme vous. C[’]est bien sûr une pure invention » !!

    - « il va pouvoir amadouer les nationalistes flamands en abandonnant Bruxelles à la Flandre » !!!

    - « Son comportement sur le front de l’Est […] La réalité, c’est qu’il avançait souvent des excuses pour ne pas être au front » !!!!!!!

    - « Je ne pense pas que Degrelle, contrairement à ce qu'il affirmait, avait des révélations à faire. […] Il aurait notamment pu faire des déclarations embarrassantes sur l'attitude du gouvernement belge en France. […] C'est surtout Paul-Henri Spaak qui ne voulait pas voir Degrelle rentrer en Belgique. » !

    Spaak craignait donc des non-révélations "embarrassantes"!.. Il y a vraiment des taloches qui se perdent…

    Il est encore question d’antisémitisme et bien sûr de Hergé, mais nous reviendrons plus en détail sur ce ramassis de mensonges où le grotesque le dispute à l’imbécillité. Beaucoup d’éléments de réponse se trouvent d’ailleurs déjà dans notre recension de l’opuscule Degrelle, qui suis-je ? de Francis Bergeron (voir ce blog à partir du 30 avril 2016).


    Pour le reste, rappelons que, jusqu’à aujourd’hui, il existe bien deux importants et indispensables ouvrages pouvant prétendre au statut de « biographie complète » de Léon Degrelle, retraçant « l’ensemble de son parcours, de son enfance sur les bords de la Semois à sa retraite espagnole » :

     

    - Louise Narvaez, Duchesse de Valence, Degrelle m’a dit…, Les Grands Documents de l’Histoire, 1961.

    - Jean-Michel Charlier, Léon Degrelle persiste et signe. Interviews recueillies pour la télévision française, Editions Jean Picollec, 1985.


    Deux autobiographies sont également indispensables à toute personne soucieuse de documents de première main :

    - Mon combat, récit de sa vie rédigé après-guerre par Léon Degrelle à l’intention de ses jeunes enfants dont il vivait séparé. Edition à compte propre, sans nom d’éditeur, ni lieu, ni date, par un cercle d’amis de Léon Degrelle, peu après 1994.


    - Tintin mon copain, Editions Pélican d’Or, Klow, Syldavie, 2000.

     

    Dans notre monde démocratique garantissant la liberté de pensée et d’expression, tous ces ouvrages sont désormais rares et difficilement disponibles, sauf chez quelques bouquinistes spécialisés qu’il faut savoir dénicher…

     

  • Quoi ? Vous balayez ? Mais vous êtes nazi !

     

    Balais Insigne.jpgLecture rigolote dans la peu rigolote Libre Belgique de ce 30 novembre 2016. Sous le titre « Modrikamen et la métaphore de Léon Degrelle », un certain Stéphane Tassin (comment supporte-t-il la présence métaphorique du double « S » dans son patronyme ?) s’étrangle d’effroi : « Lors du congrès du P[arti] P[opulaire], muni d’un balai, [le président Mischaël Modrikamen] haranguait ses troupes » ! Quelques extraits anthologiques.

    Le « président et avocat d’affaires Mischaël Modrikamen fait du recyclage de méthodes particulièrement nauséabondes. […] Il a sorti… un balai, pour encourager ses adeptes à balayer la corruption, le politiquement correct et les médias, l’islam radical et la classe politique belge. Les membres du parti criant à sa suite de vibrants "du balai, du balai, du balai…". Si, pour justifier le recours à cet accessoire, il se revendique de Margaret Thatcher […] et d’Arnold Schwarzenegger […] qui ont utilisé la même image en campagne électorale, leBalais Affiche.jpg patron du PP doit quand même se souvenir que d’autres personnages moins glorieux ont utilisé la même métaphore bien avant lui en Belgique. Le premier de la liste étant Léon Degrelle, le rexiste qui, avant d’être un collaborateur zélé de l’Allemagne nazie, utilisait déjà un balai pour conspuer la classe politique belge des années trente face à laquelle il se présentait en sauveur. Plus récemment, le Vlaams Blok (devenu Belang) a aussi manifesté avec des balais pour nettoyer la politique belge. […]. »

    Ajoutons qu’en France, le courageux Yvan Benedetti s’était fait élire aux dernières élections municipales du fief communiste de Vénissieux (avec plus de 10% des voix) après avoir fait campagne avec le balai « degrellien » pour emblème. Néanmoins, l’élection d’un nationaliste ne relevant pas de la démocratie mais du scandale, le vote a été invalidé et l’élu politiquement incorrect déclaré inéligible.

    Si l’on en croit le Tain au comique aain fleurant bon la dénonciation des heures les plus sombres de notre histoire, « le recours à ce type de référence » relève en effet de l’ignominie.

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    Mieux vaut donc s’accommoder des banksters pillards de l’épargne publique et de leurs complices politiciens corrompus plutôt que d’utiliser un symbole bien évocateur de la propreté ménagère. Récurer, désinfecter, assainir les écuries d'Augias d'aujourd'hui : des comportements nazis ? Sans doute puisqu’ils évoquent des « faits réels liés à l’histoire récente en Belgique ». Notre Tain n’en dira pas plus, mais nous confiera de l’air entendu de celui à qui on ne la fait pas : « des métaphores aux actes, il n’y a qu’un pas »…

     

    Il y a vraiment des coups de balai qui se perdent !

     

  • Mais si ! les Flamands pensent toujours à Léon Degrelle !

    1. « De Vijfhoek », mensuel de la Communauté flamande

     

    1 Article Vijfhoek.jpgCe sont nos amis nationalistes du ‘t Pallieterke qui nous avaient naguère surpris en annonçant sentencieusement qu’aujourd’hui, plus personne ne pensait à Léon Degrelle (voir ce blog en date du 10 juin 2016)…

    Ce nous est donc un particulier plaisir de le démentir à nouveau en signalant deux articles récents de la presse… flamande et publiés quasi simultanément !!!

    Le premier (novembre 2016) est issu d’un mensuel distribué gratuitement dans la capitale belge par le centre culturel flamand, De Vijfhoek (« Le Pentagone », figure dessinée par les remparts médiévaux de Bruxelles, remplacés aujourd’hui par la Petite Ceinture, sorte d’autoroute urbaine clôturant le centre-ville).

    Comme ce magazine est subsidié par la « Communauté flamande », institution fédérale officielle, on ne doit bien entendu pas s’attendre à autre chose que de très politiquement correct. Et, comme de bien entendu, on y retrouvera un inévitable éreintement de Donald Trump, mais avec l’originalité d’en profiter pour calomnier surtout Léon Degrelle (mais après tout, LeVif/L’Express, faisait déjà du nouveau président des States un de ses « fils spirituels » : voir ce blog en date du 28 mai 2016) !

     

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  • Hergé a-t-il, ou non, été facho ? Le Nouvel Obs pisse sa dénonciation

    hergé,léon degrelle,nouvel observateur,abbé wallez,le vingtième siècleÀ l’occasion de l’expo Hergé qui se tient à Paris (Grand Palais, jusqu’au 15 janvier 2017), l’hebdo de la gauche friquée a chargé son renifleur de pissotières Arnaud Gonzague (connu pour un Bal des hommes, évocation glauque du Paris des années 30 où les invertis se shootent au nazisme) de faire la lumière sur les mauvaises fréquentations de Hergé…

    Disons-le tout de suite : le lecteur n’apprendra rien en lisant ce pensum censé débusquer le « collabo, raciste et sexiste, ignoble colonialiste, fétide [?] raciste »… Même pas que Tintin fut le portrait de son ami Léon Degrelle, futur Commandeur de la Légion Wallonie sur le Front de l’Est et fils spirituel d’Adolf Hitler !

     

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